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L'Uruguay, la cerise sur le gâteau




Nous voilà sur le Ferry en direction de la ville de Colonia de Sacramento. Seulement 1h30 de bateau sépare Buenos Aires de cette charmante ville d’Uruguay. La météo est toujours super, de quoi se charger à bloc de soleil en prévision de notre retour en France. On pose nos sacs dans une super auberge proche du vieux centre et on sort se balader. On tombe immédiatement sous le charme de Colonia. Ses rues pavées, ses petits cafés, ses boutiques d’artistes et tout ça en bord de mer avec un super soleil, que demander de plus ?! Ca me rappelle un peu la ville de Piriac en Sud Bretagne que j’aime beaucoup. Pendant la quasi-totalité de notre voyage, le soleil s’est couché vers plus ou moins 18h. Quel plaisir de pouvoir trainer jusqu’à 21h30 en tee-shirt.






Le lendemain on décide de marcher le long de la baie. On passe le long de plusieurs plages vraiment sympas et on décide de s’installer à 5, 6km de Colonia, ici la mer n’est pas vraiment belle, elle se mélange au fleuve séparant l’Uruguay de l’Argentine, elle a donc une couleur un peu marron mais il en faudrait plus pour nous arrêter. On enfile les maillots et on joue toute la journée avec des chiens venus nous tenir compagnie. Sur le chemin du retour on s’arrête à un bar en bord de plage. Décidemment on se plait beaucoup ici.


Aujourd’hui on prend un bus direction Montevideo la capitale Uruguayenne. Comme Colonia, Montevideo possède un centre-ville moderne et un vieux centre-ville. On se ballade toute l’après-midi dans les rues. La ville n’est pas désagréable mais elle possède nettement moins de charme que Colonia. On décide de reprendre la route dès lendemain pour le petit village de Cabo Polonio.



Retenez bien ce nom, Cabo Polonio ! On a eu un énorme coup de cœur pour ce lieu atypique. Ce hameau d’Uruguay est situé à 7km de la route bétonnée la plus proche. On s’y rend en buggy ou en marchant ces 7km à travers les dunes de sable. Le site étant protégé, aucune construction ne peut s’y faire. De simples cabanes de fortune, un phare, une petite superette et pas d’électricité. Une déconnexion totale hors du temps. Des allées de sable en guise de rue, rien de vraiment délimité et tout ça au bord de l’océan. Il faut vraiment le voir pour sentir l’atmosphère qui se dégage de ce lieu. A la nuit tombée, chaque cabane allume un feu de camp. Pas un bruit de voiture, pas une pollution sonore, seulement le son des guitares, des djembés ou encore le bruit des vagues qui vous berce !





















On est resté deux nuits dans ce petit coin de paradis. Personne n’a de montre ici, chacun se lève et fait ce qui lui plait. On s’est baladé dans les dunes, on a été voir la colonie de lions de mer près du phare, on a profité de la plage, on a passé pas mal de temps dans les hamacs de notre cabane à discuter avec deux potes Français qui commençaient leur voyage. En soirée, tout le monde se rend sur la plage pour observer le coucher du soleil. Un moment magique. On repart tristement de Cabo Polonio avec dans l’espoir de revenir ici un jour. Un couple d’Argentins nous fait faire la route jusqu’à Colonia de Sacramento. Une dernière nuit sur le sol Uruguayen et on reprend le ferry pour passer nos trois derniers jours à Buenos Aires avant de rentrer en France. L’Uruguay c’était vraiment top, on se rend compte que c’est encore mieux d’arriver dans un lieu, un pays sans avoir d’images ou de paysages associés. C’était notre cas pour l’Uruguay, on ne savait pas vraiment à quoi s’attendre et on ne peut être qu’agréablement surpris par ce pays si accueillant.




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